24 July 2007

Silence remains


At the back of his skull one can read a flying answer to his metaphysical glance.

Once in his life there was a garden, where no-one but himself was lucky to be.
Out in the free air, he sought for the different thing, the lack of silence
Now on the main square people pass and do not wave, and no garden to see.
Nothing has treated silence better than the remaining man and his pigeons.
Last time he saw this image he ran away in the peace and quiet of his night.

In every square there lies a fair chance of life and despair.

Green for the memories of a lost love, the flagpole of nostalgia.
You ought to plant this bean, said he, and he never was I.
Lost colours against the old times of reminisciency, too old to fly
Away with his earth, the memories of jumps and friendship amongst
Sweet scents of hidden paranoia.

Empty benches fill the gap, and heal the fallen.

For He never forgot what life was like in other people's eyes.
How the air felt in your young lungs, diving through to the tips of your feet.
And what runs in the picture of the gazing follower
Blue sparks of him, but never did he feel the returning gaze.
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De son crane reflete une reponse s'envolant, de son crane se projette un regard profond et metaphysique.

Une fois dans sa vie il y avait un jardin, ou il etait le seul a pouvoir gambader.
Une fois rendu a l'air libre, il songea a l'autre graal, au manque de silence
Maintenant sur la place publique les gens passent et ne font nul signes, pas de jardin a l'horizon.
Personne n'a traité le silence d'une meilleure maniere que l'homme qui restait a ses pigeons.
La derniere fois qu'il a vu cette image, il s'enfuit dans la paix et le silence de la nuit.

A chaque place est attachée une certaine chance de vie et de desespoir.

Vert pour le souvenir freiné d'un amour perdu, le porte-drapeau de la nostalgie.
Tu eusses du planter ce haricot, dit-il, et jamais il fut moi.
Des couleures évaporées des anciens murs de la pensée, trop agées pour voler
Loin de cette terre, les souvenirs de long sauts et d'amitiés parmis
La douce odeur d'une paranoia dissimulée.

Les Bancs vides remplissent le vide, et soignent le tombé.

Parce qu'il n'a jamais ce qu'était la vie aux yeux des autres.
La sensation d'un air frais et jeune plongeant en nous jusqu'au bout de nos orteils.
Et ce qui court dans le cadre posé par l'observateur
Des étincelles de bleux dont il n'a jamais senti la couleure sur son visage.

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