31 July 2007

Our sweet parents


Pictures of a painted afternoon resting at her parent's parent's house. We all seem satisfyingly remote enough to bathe in subconscious love and family affairs. Far also from yesterday's long lasting evening in her parent's garden.
Rest upon his sleep the reflection of his own pictures, proudly set in the guest's eye-sight, pride and joy, Maria on the right wall, Jesus on the left. Marci - alias Maria as I know her - also against the right wall, her moving smile joining forces with a strong but simple red rose. A sleep baring a smile and a plastered wall of family past and tradition. The glass of the housing's family pictures is lost in the reflecting sun, and I find myself looking at a pale mirror. A silhouette disappears, but there remains these smiles of unconditional ties.

I look back upon the past night, when all was just chaotic, joyful, tipsy-turvy dancing and sign language jokes. A hungarian debate on hungarism that got lost in a mist of slightly forgetful joy and elegant moves.
If you don't know where to go in the end - on your map - take to the right, the man said, take to the right!
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Les images d'un apres-midi qui s'est dessine a la maison des parents de son pere.
Tous, nous etions assez satisfait et eloignes pour baigner dans l'amour inconsciemment, dans les affaires de famille. Assez loin aussi d'hier et la soiree dans le jardin de son pere.
Il repose sur son sommeil le reflet de sa propre image, fierement posee pour que l'oeil de tout invite croise son chemin, fiertee et joie, Marie sur le mur de droit, Jesus le saint sur celui de gauche. Marci (ou Marie telle que je la connais) elle aussi contre le mur de droite, un sourire bougeant, mouvant, emouvant qui se lie de force avec la force et la simplicite d'une rose rouge. Un sommeil a travers un sourire et un mur peint par le passe de la famille et de la tradition. Le verre protecteur des images de la maisonee se pert dans le soleil qui s'y reflete, et je me retrouves a mirer dans l'interieur de ce pale miroir. Une silhouette disparait, mais il en demeure le dourire de liens inconditionnels.

Je reviens sur les souvenirs d'hier soir, quand tout n'etait que chaos, joie, balancements ivres mais dancants, tout n'est plus que le bonheur du language des signes. Un debat hongrois sur le 'hungaricum' se perd dans le flou d'une joie - et de mouvements elegants - qui s'oublient.
Et si vous ne savez pas ou allez vers la fin - sur votre carte - prenez la droite, vous dit l'homme, prenez la droite!

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