23 January 2007

Turning the page






History moves, and staring faces remain, people's eyes and silent voices bluntly have to face revival of their freedom. Windows' cutting edges, hidden behind curtains of fear. Faces aspiring fully to their future, and to the revival of their grey landscape.
Hungary is not grey, it has probably never been. Nor red, please (!), let us forget labels of colour. Hungary's present is still transitive, it is still something I can't talk about, something I didn't experience long enough to examine in the first place. Somewhere beloved, that is all, as the turning pages of a book smell.

L'histoire avance, et les regards fixants demeurent, les yeux et les voix silencieuses des gens doivent brutalement faire face a la renaissance de leur liberté. Les fenetres de verre coupant, cachées derriere des rideaux de peur. Des visages qui aspirent pleinement vers leur future, a la renaissance de leur paysage gris.
La Hongrie n'est pas grise, elle ne l'a probablement jamais été. Ni rouge, s'il-vous-plait (!) oublions ces étiquettes colorées et insensées. Le présent de la hongrie est toujours transitif, c'est quelque chose dont je ne peux parler, que je n'ai pas vécu assez longtemps pour l'examiner, déja. Un lieu qui m'est cher, c'est tout, comme l'odeur des pages qui tournent.

No comments: